C’était il y a 5 ans, je n’étais pas encore marié à cette époque, et je vadrouillais un peu partout en France car je ne faisais que des missions intérim. Comme j’étais spécialisé dans le matériel nautique, j’avais trouvé une belle mission à Saint-Nazaire, pour une durée de 2 mois.
C’était un boulot cool, dans une région cool, bref tout allait bien, le seul hic, c’est que je ne connaissais pas grand monde dans cette belle ville.
Elle me faisait fantasmer !
A vrai dire, je n’avais pas trop le temps de trouver des contacts féminins, la seule femme que je voyais tous les jours dans ce boulot de mecs, c’était la patronne, une belle femme cougar de Saint-Nazaire bourgeoise bcbg de 50 ans environ. Mariée, elle était intransigeante sur les horaires, et pour lui décrocher un sourire, il fallait se lever tôt ! Pourtant je pense qu’elle m’avait à la bonne, car elle semblait me regarder avec des yeux différents que mes autres collègue de boulot.
Elle me faisait un peu fantasmer, je ne sais pas si c’est parce qu’elle était bourgeoise et bcbg, ou bien si c’est parce que je m’imaginais qu’elle était une femme cougar qui aimait les jeunes hommes musclés comme moi. Pour autant, pas facile de faire le premier pas avec sa patronne, il ne fallait pas se rater sous peine d’un retour à la case pôle emploi immédiat ! Un beau jour, j’ai quand même essayé de provoquer le destin, j’ai un peu déboutonné ma chemise, et je suis allé la voir dans son bureau pour demander une avance sur salaire. J’ai frappé à la porte, et elle m’a dit d’entrer. Elle était en tailleur, assise les jambes croisées derrière son ordinateur, avec ses lunettes qui la rendaient encore plus sexy et bcbg.
Et là, elle rougit…
Elle me regarda vite fait, puis me dit de m’asseoir, et me demanda pourquoi je venais la déranger. Sans quitter son PC des yeux, elle m’écouta, quand tout à coup, elle reposa son regard sur moi, et là, elle vit que ma chemise laisser apparaître mes pectoraux saillants. Je la vis rougir, puis quitter ses lunettes et les poser sur le bureau, prendre une lingette et s’essuyer le front. Je crois que je lui avais fait de l’effet à la belle bourgeoise ! J’ai souri, et j’ai continué à argumenter ma demande d’avance sur salaire, elle semblait troublée … c’est là que j’ai compris que c’était donc une cougar, et que même si elle était mariée, il y avait moyen de la coincer quelque part pour un plan cul vite fait bien fait. Malheureusement, je n’ai jamais eu une seule autre occasion d’être à nouveau en duo avec elle, donc cette belle bourgeoise restera l’un de mes fantasmes inassouvis !
