J’étais au travail à Montreuil lorsque je reçu sur mon portable un sms venant de mon Maître. Il était sans équivoque et me laissa sans voix…
“Sois disponible à 17h00, je viendrai te chercher au travail pour te faire saillir”. Il n’était que 13h00 et déjà je sentais la pression monter, savoir que mon Maître aller m’imposer un nouveau jeu me rendait toute moite … qu’allait il encore m’arriver ? J’avoue que j’ai vraiment eu du mal à terminer ma journée de travail, j’étais toute tremblante et mon esprit était accaparé par mon futur rendez vous.
Une femme mature de 47 ans sur Montreuil…
A cette époque, j’avais 47 ans, et j’étais déjà une femme mature que l’on peut qualifier de soumise et de cougar, car oui, je ne vivais que pour les délires de mon Maître, et oui je préférais les hommes plus jeunes que moi. Mon Maître avait deux ans de plus que moi, et il prenait un malin plaisir à me faire baiser par des hommes aillant l’âge de mes fils … L’heure arriva, péniblement, et je sorti de travail. Il était déjà là, m’attendant dans son énorme berline allemande. J’entra dans la voiture, et le salua. “Bonjour Maître”. Il ne répondit pas, et me regarda d’un air salace. Il me tendit une micro robe et des talons de 15cm. “Tiens enfile ça petite pute” me dit il.
« C’est bien, tu es une bonne salope » me dit-il
Je m’exécuta sans broncher. Nous arrivâmes dans les quartiers de Montreuil, là où les tours HLM se suivent et se ressemblent. Il trouva une place et se gara. Il m’ouvrit la porte, et m’ordonna de sortir. Là il me mit un bandeau sur les yeux, et me guida. D’après ce que je ressentais, nous étions en direction d’un immeuble. Il ne parlait pas, ne disait rien, ce qui me faisait frémir de désir … Je ne savais vraiment pas ce qui allait arriver. Soudain il me dit. “Voilà petite pute, on est dans une cave du 93, et va falloir que tu suces ce mec qui est venu se faire vider”. Je ne voyais rien … Je me mis à genou, difficilement, et j’ouvris la bouche… Et là, la queue arriva. Je n’avais d’autre choix que de sucer, mon Maître me tenait par les cheveux et me lançait des insultes, j’entendais également le jeune mec me qualifiant de “bonne salope”, de “bonne pute cougar”, de “bon vide couille soumise” .
Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ma bouche était pleine de sperme au bout de quelques instants. Je me sentais humiliée, comme à chaque fois lors des jeux de mon Maître. Soudain, il n’y eut plus aucun bruit. Il me releva, et nous partîmes enfin de ce lieu glauque. Arrivés dans la voiture il m’enleva mon bandeau, et me tendit une lingette pour essuyer le sperme qui coulait encore sur mon visage. “C’est bien, tu es vraiment une bonne salope”, me dit-il. Et il me ramena chez moi.