Ma rencontre avec Evelyne, une femme cougar parisienne dominatrice

Je m’appelle Johan, jeune parisien de 25 ans fraîchement diplômé dans les ressources humaines. Je vais vous raconter ma rencontre avec Evelyne, une femme cougar parisienne qui aime prendre les devants…

Cela faisait 6 mois que j’avais débuté en temps qu’assistant RH dans une entreprise située en région parisienne… C’était une période assez difficile, car le système informatique de toute la boîte avait été piraté, nous devions donc recréer les mots de passe de chaque employé, de manière à les rendre plus difficilement « hackable ». Je croisais déjà régulièrement Evelyne à la machine à café : secrétaire de direction, je dois dire que son allure très « stricte » avec son tailleur toujours bien ajusté, ses longues jambes fines recouvertes d’un collant saillant et ses lunettes m’interpellaient ! Pire, je la trouvais particulièrement excitante, mais jamais au grand jamais je n’aurais imaginé pouvoir l’intéresser… Un jeune de 25 ans et une femme de 47 ans… Vous pensez bien que ça ne court pas les rues !

FétichismeBDSM… un mot de passe révélateur

Les mots-de-passe, qui étaient à l’origine directement personnalisés par les employés, devaient donc être recréés de manière plus sécuritaire afin d’éviter un nouvel épisode de piratage malheureux. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir les précédents mots-de-passe créés par tous les salariés de l’entreprise ! Autant le dire, Evelyne tenait le haut du carreau : « fétichismeBDSM »… un mot de passe qui en disait long. J’ai tout de suite commencé à fantasmer en imaginant Evelyne en tenue de cuir, vinyl ou latex… Mais plus j’y pensais, plus l’envie de voir mon fantasme se réaliser me hantait.

J’étais donc en charge de rencontrer chaque employé pour procéder à la modification des mots-de-passe. C’est donc avec une excitation difficile à cacher que je suis allé voir Evelyne dans son bureau : elle ne s’attendait probablement pas à ce que je connaisse son petit secret. Et c’est donc sans surprise que lorsque je lui ai présenté une feuille avec son ancien mot de passe et son nouveau elle s’est mise à rougir, sans doute gênée par cette situation pour le moins rocambolesque. Une gêne qui n’a pas duré longtemps, mon petit sourire en coin a largement détendu l’atmosphère et je n’ai pas hésité à la rassurer à l’aide d’un « Cela restera entre nous ne vous en faîtes pas…« .

Un rendez-vous fixé pour le lendemain

Suite à ces belles paroles, Evelyne avait l’air reconnaissante que l’affaire ne s’ébruite pas, et je me suis dt que c’était le moment d’oser ! « Si vous souhaitez me remercier, c’est avec grand plaisir que j’accepterais de boire un verre avec vous un soir après le travail ! ». Son visage esquisse un sourire : « Enfin Johan, vous pourriez être mon fils ! ». Ce à quoi j’ai rétorqué non sans rire : « Je suis majeur et vacciné, et je ne suis pas contre une petite fessée de temps en temps !« . Evelyne se pinça les les lèvres, je voyais bien que je ne la laissais pas indifférente, c’était le moment d’aller droit au but et fixer un rendez-vous pour le lendemain soir, un rendez-vous qu’elle accepta rapidement.

Une tenue sexy en cuir et latex particulièrement alléchante…

Après avoir passé une soirée à fantasmer sur ma rencontre du lendemain soir, le moment était enfin arrivé ! 18h, je me rendais au poste d’Evelyne avec la ferme intention de passer une soirée de folie… Elle m’accueillit avec le sourire dans son joli tailleur qui marquait parfaitement sa silhouette et me demanda de patienter quelques minutes le temps de se refaire une beauté aux toilettes. Elle revint dans son long manteau d’hiver, nous voilà parti en direction d’un restaurant italien intimiste à l’ambiance feutrée, le verre de la veille s’étant transformé en repas « entre collègues ». Si seulement j’avais su ce qu’elle cachait sous ce long manteau…

Parce que oui, dès la commande de l’apéritif, elle me laissa apercevoir en se baissant discrètement qu’elle ne portait pas des collants, mais des bas particulièrement affriolants. Ses jambes longues et fines m’excitaient énormément, j’avais du mal à contenir mes pulsions les plus coquines ! Je lui fit remarquer que j’appréciais ses bas, elle me rétorqua que je n’avais encore rien vu. En effet, son chemisier qui n’était pas boutonné dans son intégralité me permettait de distinguer des sous-vêtements en cuir. Autant le dire, je savais désormais que cette soirée risquait bien d’être la plus coquine de toute ma vie !

Une femme mure pour un soumis

Le repas fini, nous avons décidé d’un commun accord d’aller chez elle, une histoire « d’accessoires » qui laissait présager un instant charnel des plus cocasses. Evelyne m’invita à m’installer dans son salon avec un verre de whisky, le temps pour elle de « se préparer ». Et là ! Elle revint en tenue de cuir et latex, avec des trous au niveau de la poitrine et de sa vulve épilée dans son intégralité ! Cravache à la main elle prit subitement un ton plus autoritaire.

« Maintenant fini de jouer ! Tu vas m’appeler maîtresse et suivre mes ordres ! »

« Ou… Oui Maîtresse… »

« Retire tes vêtements ! »

Pendant que je retirais mes vêtements, Evelyne pris un foulard pour me couvrir les yeux. Je n’y voyais plus rien ! Mais malgré tout, je sentais tous mes sens en éveil ! Elle m’amena dans sa chambre, m’allongea sur le lit et attacha mes mains… J’étais devenu sa victime, offert, prêt à tout pour une étreinte charnelle… Elle commença d’abord par s’asseoir au niveau de mon visage, me forçant à lécher sa petite chatte déjà humide. Le goût de son nectar d’amour commença à m’enivrer, c’était tellement bon. Pendant 15 bonnes minutes je l’ai léché, probablement le meilleur cunnilingus de ma vie ! Elle se balançait sur mon visage, je sentais qu’elle appréciait que ma langue pénètre sa chatte un maximum, je l’entendais d’ailleurs gémir et prendre du plaisir. Jusque au moment où la cyprine commença à se déverser sur moi en grande quantité. Evelyne était en réalité une femme cougar « fontaine », j’avais touché le gros lot, et je n’avais encore rien vu.

Une cougar qui aime le fist fucking !

Elle se releva et je l’entendis ouvrir sa table de nuit. Quelle ne fut pas ma surprise de sentir une substance « gluante » couler sur ma main droite… il s’agissait bien évidemment d’un lubrifiant ! Elle détacha ma main, s’asseya sur mon ventre et commença à prendre ma main qu’elle rapprocha de sa petite chatte. Elle s’amusa à pénétrer un doigt, puis deux, puis trois… Jusqu’à passer ma main toute entière ! Je ne m’attendais pas à ça et je peux vous dire que ma queue était raide comme un piquet. Même dans mon imagination la plus folle je n’avais jamais imaginé réaliser de telles pratiques.

Elle sorti ensuite sa main pour venir s’asseoir sur ma ma bite déjà prête à recevoir sa vulve trempée et abondamment lubrifiée. Je dois dire que la sensation de chaleur lors de la pénétration m’a provoqué un plaisir intense, ces vas et viens montaient crescendo, heureusement que la capote m’a permis d’éviter de justesse la jouissance…

Une sodomie bien méritée

« On va finir en apothéose ! »

« Oui maîtresse… »

Elle se retira subitement et j’entendis l’ouverture rapide d’une fermeture éclair. Je me rendrais compte seulement après notre rapport que sa combinaison en cuir permettait une ouverture jusqu’au niveau de son cul… A sec, elle s’asseya sur ma queue et commença doucement les vas et viens. Son cul était bien plus étroit que sa chatte, c’était tellement bon ! On gémissait de concerts, je sentais qu’elle appréciait particulièrement la sodomie pour mon plus grand bonheur. Mon corps commençait déjà à se raidir, l’éjaculation commençant à se faire sentir, elle n’hésita pas longtemps pour se retirer, enlever la capote et avaler l’intégralité de mon nectar d’amour… Un véritable délice !

Je finis par retirer le foulard et j’ai pu apercevoir cette femme mature, splendide et sublime dans sa combinaison en cuir et latex, pleine de sueur et avec une expression sur son visage qui laissait entrevoir la satisfaction du travail correctement accompli. Nous avions tous les deux pris énormément de plaisir et nous garderions entre nous à tout jamais ce doux moment secret.