A force de traîner sur le web sur différents sites un peu olé olé, je trouvais des annonces qui me donnaient envie d’en savoir plus. Une fois, une attira mon attention un peu plus que les autres, elle concernait une femme cougar de Valence.
Le texte exact si je me souviens bien était “Femme mature dominatrice de Valence cherche jeune larbin soumis pour expériences hards”. Étant moi même un peu soumis dans l’âme et ayant toujours eu des attirances pour les femmes dominatrices et gynarchiques, j’ai répondu à cette annonce, sans vraiment trop y croire. Deux jours après, je recevais une réponse de la dame en question, où elle expliquait avoir 45 ans, n’aimer que les petits jeunes soumis et respectueux, et être intraitable.
Un questionnaire à remplir…
Il y avait également un questionnaire à remplir sur les pratiques que j’aimais, une sorte de test ou d’entretien d’embauche en fait. J’ai rempli tout cela et j’ai renvoyé à la dame, joignant mon numéro de téléphone. Le soir même, je recevais un MMS avec une photo de la jolie cougar dominatrice, vêtue d’une combinaison de latex et armée d’un fouet ! J’étais super excité, et j’ai décidé d’aller plus loin et de lui donner mon accord pour une future rencontre. Toutes les suivantes instructions arrivèrent directement sur mon téléphone, et je me rendis chez elle, elle possédait une donjon aménagé en salle bdsm fetish pour les soumis.
Une belle femme mure brune
Arrivé sur place, je ne vous cache pas que j’avais un peu peur en imaginant ce qu’il pouvait m’arriver mais je ne me suis pas dégonflé et j’ai sonné à sa porte. La belle brune cougar m’ouvrit la porte, me jeta à peine un regard dédaigneux, et me dit de la suivre. J’ai obéi et je l’ai suivi, dans les méandres de son donjon, jusqu’à arriver dans une pièce ou il y avait un pilori en plein milieu de la pièce.
-”Déshabille-toi, petite larve”, me lança t’elle.
Je n’avais pas d’autre choix que de le faire si voulais poursuivre vu le ton qu’elle employait.
– “Mets-toi la tête la dedans, et vite” me dit-elle en me montrant le pilori.
Cela promettait d’être hard, qu’allait-elle me faire une fois que je serais pris au piège de cet engin de torture ? Je me posais mille questions, et elle vit que j’étais hésitant…
– « Tu te bouges, ou tu pars, tu as le choix ! » s’exclama t’elle, un peu énervée.
Ni une ni deux, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai rassemblé mes affaires, et j’ai lancé en balbutiant, je suis désolé, j’ai trop peur Madame…
-”Je savais bien que tu ne me méritais pas, pauvre larve, dégage alors” me dit-elle.
J’ai quitté ce lieu à la vitesse de la lumière, et je n’ai plus jamais mis les pieds dans ce quartier de Valence.
