Chaque soir, l’an dernier, je rentrais de la fac en RER, et chaque soir depuis quelques mois, je croisais la même femme. À chaque fois, j’essayais de me mettre le plus près possible d’elle dans le wagon, ce n’était pas forcément évident, mais je me faufilais tant bien que mal pour pouvoir l’observer et essayer d’attirer son attention.
Je pense qu’elle devait avoir aux alentours de 45 ans, elle était mariée, car j’avais pu remarquer une alliance. Elle avait le teint mat, elle devait faire des UV. En tout cas, elle prenait bien soin d’elle, c’était une femme mature très raffinée, cela se voyait au niveau de ses ongles toujours parfaits et de sa coupe de cheveux au brushing professionnel.
Mon jour de chance
Un soir, j’ai enfin réussi à me caser juste en face d’elle, c’était doublement mon jour de chance, car elle portait une jupe assez courte. Elle avait les jambes croisées, mais si longues qu’elles me faisaient frémir de désir. Je bloquais dessus comme si j’avais bogué. Elle me regarda brièvement un sourire en coin, et continua de tapoter sur son smartphone. Elle avait clairement compris que je la matais et que j’étais intéressé. Le RER arriva à la station où elle descendait, et je décidai d’en faire de même, quitte à reprendre le prochain. Qui ne tente rien n’a rien.
Je commençai alors à la suivre histoire de voir si une possibilité d’accroche était possible. Visiblement, elle s’est rendue compte de mon petit jeu, car elle s’est mise à se dandiner sur ses talons, en marchant devant moi. Mes yeux ne quittaient pas son joli fessier, j’étais fou d’excitation et de désir, et j’imaginais les scénarios les plus hot. Elle est allée au parking, monta dans sa voiture. C’est là que j’ai décidé de tenter ma chance en m’avançant vers le carreau. Elle a baissé la vitre, et m’a dit.
Un voyage en voiture dont j’allais me souvenir longtemps
-« veux-tu que je te ramène charmant jeune homme ? »
Je peux vous dire que je n’ai pas trainé à répondre, évidement que je voulais ! Je suis alors monté à côté d’elle en lui indiquant la route histoire de briser la glace. Nous avons timidement fait connaissance, elle m’a parlé de tout et de rien, j’étais un peu impressionné de me retrouver seul avec cette femme de 25 ans de plus que moi. D’après ce que j’ai compris, son mari était un mufle et elle se sentait seule.
On a eu un vrai feeling, je sais, c’est étrange de dire cela, mais c’est vrai. J’ai bien senti que je lui plaisais, surtout quand j’ai commencé à sentir sa main sur ma cuisse. Elle m’a alors dit :
-« Veux-tu qu’on s’arrête ? Je connais un coin tranquille ».
J’ai répondu par les gestes, en glissant moi aussi ma main sur sa cuisse. Elle a esquissé un sourire, et nous a conduit dans une petite clairière à l’abri des regards. On était bien là, personne ne pouvait nous voir.
Elle est sortie de la voiture et est montée derrière en me demandant de la rejoindre. Elle m’a alors dit qu’elle n’avait pas beaucoup de temps, que son mari l’attendait, et que c’était la première fois qu’elle faisait cela. Je vous avoue que j’ai eu du mal à la croire.
Baiser une femme cougar mariée… Done !
Nous avons alors fait l’amour comme jamais je n’avais fait avant, une vraie étreinte sensuelle, dans cette voiture si exiguë. Son expérience de femme mariée m’a subjugué, je pense que cela a été un moment fort pour moi, mais aussi pour elle vu la façon dont elle a crié et transpiré en jouissant. On s’est ensuite vite rhabillés, et elle m’a ramené, on n’a quasi plus parlé dans voiture jusqu’à ce qu’on arrive, peut-être tous deux honteux de ce qu’on venait de faire. J’ai juste pu en apprendre plus sur son doux prénom… elle s’appelait Viviane !
Je reprends le RER tous les soirs, impossible de la revoir, je ne sais pas ce qu’elle est devenue, j’aurais dû prendre son numéro.
