Dépucelé par une femme cougar brune dans les toilettes…

Est-ce que je vous ai déjà parlé de mon dépucelage ? Non, et bien voici exactement comment cela s’est passé. Je vous préviens, ce fut rapide ! Je pense qu’il faut absolument que vous le raconte, car ce n’est vraiment pas commun comme situation.

J’avais à peine 19 piges, mais vu ma tête de boutonneux, aucune nana ne s’intéressait à moi, la grosse loose. Tous mes potes avaient déjà trempé leur biscuit, mais pour moi ce moment tardait à arriver.

Une femme de ménage vraiment ravissante !

Un jour à la fac, je dus rester après les heures, dans l’amphi, pour finir un projet d’économie. Je bossais tranquillement seul dans cette grande salle froide, quand la femme de ménage arriva pour nettoyer entre les allées, comme chaque soir après les cours. Je lui demandai si elle voulait que je m’en aille, elle me répondit que non, elle allait se débrouiller sans me déranger. Je me suis alors remis dans mes dossiers, en gardant un oeil sur elle, car il est vrai qu’elle était charmante, même si elle avait facilement le double de mon âge.

À un moment, j’ai vu qu’elle me regardait avec des yeux malicieux, et j’avoue que je ne comprenais pas trop ce qu’elle voulait. Vu mon inexpérience dans ce domaine, il m’a fallu du temps avant de comprendre que cette femme qui pouvait être ma mère me faisait du rentre-dedans. L’occasion était trop belle, je me suis mis à rentrer dans son petit jeu, la déshabillant des yeux.

Une femme mure très coquine

On peut dire que c’était une sacrée coquine, et qu’elle n’avait pas froid aux yeux. Elle est venue tout près de moi, entre les allées pour frotter son corps sur mes cuisses. Je ne savais pas quoi faire, j’étais totalement bloqué, ému. Elle a pris les devants et m’a dit

– » On ferait mieux d’aller dans les toilettes, parce que là si quelqu’un rentre, on est cuit et on va se faire virer tous les deux. »

Je la suivis donc dans les toilettes des femmes, elle ferma la porte à double tour et commença à m’embrasser a pleine bouche. Elle était douce, je me laissais faire, de toute manière, je ne savais absolument pas comment m’y prendre. Elle prit mes mains et les posa sur ses seins. Ils étaient gros, et les tétons tout durs. Elle me caressa alors le sexe à travers mon baggy, il était dur comme jamais. Elle le branlait doucement, histoire de faire monter la pression. Il n’y a aucun doute, elle savait s’y prendre, je ne devais pas être le premier étudiant qu’elle coinçait de la sorte !

Une excitation… un peu trop rapide !

Elle me demanda si j’avais un préservatif, et par miracle, j’avais sur moi celui que je gardais en secret depuis tout ce temps, pour le grand jour. Ce grand jour était enfin là !

Elle commença à me l’enfiler avec précaution, et une fois la capote bien mise, elle se retourna, se pencha sur la cuvette des toilettes et me présenta ses fesses écartées et cambrées. Le sexe à la main, je ne savais pas comment procéder, j’étais tout penaud. Elle le guida entre ses cuisses. Je commençai les va-et-vient, et deux minutes après, je sentis que j’avais joui, honteux de cette rapidité. Elle me lança.

-« T’as déjà fini ? T’es sérieux là ? »

Et oui, j’avais été pire qu’un éjaculateur précoce, carrément ridicule même ! Je me suis empressé de me rhabiller, et tête baissée, j’ai filé vite loin de là. J’en garde malgré tout un bon souvenir.